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L'instruction populaire et les écoles primaires à Limoges Album contenant l'histoire de l'enseignement primaire et la monographie de chaque école de la ville de Limoges.
Ouvrage manuscrit réalisé à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1900.
cote : Ms 272 (Bfm Limoges)
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Croix processionnelle Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 182 r° . Cette grande croix à double traverse en argent doré et cabochons incrustés reprend la forme des croix reliquaires dite "d'outremer" qui firent la renommée des emailleurs limousin du Moyen-âge.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Encensoir Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 144 r°.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Panonceau Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 82 v°.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Bourdon Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 70 v°.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Navette à encens Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 54 v° : navette à encens fermée par un couvercle. On devine à droite, le manche de la cuillère, fixée par une chainette, qui permettait de prendre les petites boules d'encens.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Bénitier Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 51 v° : bénitier en argent, avec coupe en forme de coquille profonde. les réhauts de peinture en camaIeu de bleu évoquent les tonalité de l'argent.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Encensoir Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 36 r° : dessin inachevé à l'encre brune d'un encensoir. Ses formes architecturales (dôme et colonnade) s'inspirent du répertoire décoratif de la renaissance. Au centre de la coupe, un cartouche porte l'inscription "F.MALHOT", vraisemblablement le nom de l'orfèvre pressenti.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Frontispice représentant l'emblème de la confrérie du Saint-Sacrement Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 2v°.
Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte.
Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse.
La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs).
cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)
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Vierge tenant l'enfant Jésus Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 166 r°.
Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures.
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA1 (Archives municipales de Limoges)
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Sainte Valérie présentant sa tête à Saint Martial Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 r°.
Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures.
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges)
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Première page des coutumes du Château Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 113 r°.
Première page des coutumes du Château, confirmées en 1260 par le roi d'Angleterre Henri III.
On peut lire écrit en rouge : " Eysso son las codumas libertat e franchesas dela viela e chastel de Letmoges aproadas donadas e conformadas per Anri jadis reys d'Anglaterra senhor d'Irlanda e de Guyana e per Oudoart prince de Galas e de Guyana filli anannat deu dich Oudoart rey d4anglaterra e per Charle la gracia de Dieu reys de Franssa"
(Voici les coutumes, libertés et franchises de la ville et château de Limoges approuvées, données et confirmées par Henri jadis roi d'Angleterre, seigneur d'Irlande et de Guyenne, et par Edouard prince de Galles et de Guyenne fils aîné du dit Edouard d'Angleterre et par Charles roi de France par la grâce de Dieu.)
Les premières coutumes de Limoges datent de 1212. Elles ont été confirmées en 1260 par le roi d'Angleterre Henri III au moment où le Limousin relève des Plantagenets, à la fois ducs d'Aquitaine et rois d'Angleterre. Entre la fin du XIIIe siècle et la fin du XIVe siècle, Limoges passe alternativement de la tutelle française à la tutelle anglaise. Ce qui explique les différentes confirmations rappelées dans de ce texte.
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges ( l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges)
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Serment des Consuls Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 v°.
Traduction :
"Messieurs , vous jurez sur les saints Evangiles que vous tiendrez et vous garderez cette ville en votre pouvoir sous la vraie et bonne soumission et obéissance au roi, notre souverain seigneur, et que vous prendrez bien et loyalement soin du gouvernement de la ville. Vous lui procurerez le bien, la gardez du mal (...) Et par la volonté et le consentement du peuple de cette ville et par l'élection qui vient d'être faite, nous vous établissons consuls et gouverneurs de ladite ville et de ses habitants, pour une durée d'un an. et nous vous mettons en sa possession, priant Dieu que, par sa grâce, il vous donne d'en jouir ainsi que nous tous.".
Il s'agit de la formule de serment que que prêtaient les consuls à leur entrée en charge.
Les consuls étaient élus et renouvelés chaque année. ils sont au nombre de 12, 10 pour les 10 quartiers de la ville, 2 pour les faubourgs. Le locuteur ("nous") est l'Hospital, assemblée des notables, à laquelle les consuls rendent des comptes à la fin de leur mandat.
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges)
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Crucifixion Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 r°.
Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Au verso de ce folio, on peut lire l'inscription "Lo sacrement que an acoustumat a far los senhours quant sont eligitz consuls nouveaux".
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA1 (Archives municipales de Limoges)
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Le Christ en majesté Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 8 v° : le Christ en manteau bleu doublé de rouge, tenant un globe dans la main gauche et bénissant de la main droite. Au quatre angles du cadre ovale, les symboles des quatre évangélistes.
Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Au recto de ce folio, on peut lire l'inscription "Lo sacrement que an acoustumat a far los senhours quant sont eligitz consuls nouveaux".
Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan.
cote : AA1 (Archives municipales de Limoges)
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Eléments de géographie Manuscrit en français du fond de la bibliothèque Communale de Brive, provenant de la Bibliothèque du Collège des Doctrinaires (?)
Ce manuscrit apparaît dans les collections en 1932 il ne comporte aucune mention de propriété hormis un prénom et un nom barré et peu lisible sur la couverture.
Ce manuscrit est daté approximativement fin XVIIIe, la date la plus récente inscrite dans le document est 1792 (page 67).
Il est question page 53 de la " République de Venise" qui disparut en 1797, de la république de Gênes qui prit fin en 1797, ainsi que de la "république Suisse": 1798-1803. Et l’empire allemand à disparu en 1806.
La page 22-23 comprenant le calendrier révolutionnaire est barrée.
Il manque la page 6-7.
cote : P 1 1-21 (Médiathèque de Brive)
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Observations sur divers coléoptères de la collection de M Dupont Pierre André Latreille, né le 20 novembre 1762 à Brive-la-Gaillarde et mort le 6 février 1833, est un entomologiste français. D'origine très modeste, il fait ses études à Paris au collège du cardinal Lemoine. Il est ordonné prêtre en 1786 et retourne à Brive où il consacre son temps libre à l'entomologie. Il revient à Paris en 1788. La publication de son Mémoire sur les mutiles découvertes en France le fait reconnaître dans la communauté scientifique. Refusant de prêter serment lors de la Révolution, il est emprisonné à Bordeaux. Latreille se plaisait à raconter qu'il devait la vie à un insecte qu'il avait découvert dans sa geôle. On le libère, le navire qui devait l'emmener en Guyane sombre en cours de route.
En 1796, il publie son Précis des caractères génériques des insectes, disposés dans un ordre naturel à Brive.
La Médiathèque municipale possède les livres de main de Latreille, c’est à dire sa collection particulière d’auteur, don fait par son petit neveu P-A Valade-Gabel en 1904 à la ville de Brive.
Le présent manuscrit comprend :
1° Observations sur les Coléoptères de la collection Dupont (13p.)
2°Observations sur divers Charansonites du Muséum (p. 13-52)
4° Notices et Notes biographiques comprenant :
a-Articles de la Bibliographie entomologique par A. percheron Paris 1837
b-liste des ouvrages, monographies et mémoires de M Latreille extrait de la Bibliographie entomologique, de la biographie médicale et complétée
c- Notice sur M Latreille écrite sous la dictée de son ancien camarade Dumas
d- Extrait de la biographie médicale article rédigées à la demande de M. pierre Flourens de l’Académie des sciences par S. Valade-Gabel, ancien professeur à l’institut des sourds et muets de Paris plume du fils de celui ci filleul de
e- Notes sur la vie de P.A. Latreille, rédigées à la demande de M Pierre Flourens, de L’Academie des Sciences par S. Valade Gabel Professeur à l’institut des Sourds et Muets de Paris, Directeur Honoraire de l’institution de Bordeaux.
(les 5 articles sont écrits de la plume du Fils de celui-ci, Filleul de Latreille)
cote : P 1 1-18 (Médiathèque de Brive)
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Le départ du Maçon Chanson, manuscrit de l'auteur.
Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac.
Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons, dont le "départ du Maçon "(n°15 du 22mai 1848).
cote : Ms 88 (Bfm Limoges)
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Le Porcelainier Chanson, manuscrit de l'auteur.
Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac.
Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons.
cote : Ms 88 (Bfm Limoges)
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Les Grisettes. Chanson, manuscrit de l'auteur.
Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac.
Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons.
La grisette est une étoffe commune de teinte grise que portaient les hommes et les femmes du commun. Par extension, le terme grisette désignait familièrement une jeune ouvrière coquette et galante (Dictionnaire de l'Académie).
cote : Ms 88 (Bfm Limoges)