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Dessin préparatoire pour la couverture de Geôlier d'enfants Né à Oullins, elle étudie les beaux-arts à Lyon puis à Paris. En 1930, elle épouse l’architecte lyonnais Fernand Thoubillon de Moncroc (1902 – 1944), qu’elle a rencontré durant ses études. Veuve jeune, elle consacre sa vie à la peinture et à ses enfants. Elle réalise des gouaches, illustre des albums jeunesse aussi bien pour les éditions Mame que pour les éditions Ardant.
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Dessin préparatoire pour l'illustration de Trois mois à Belle-Ile-en-Mer Les dessins de cette série comportent un petit onglet qui cache les personnages sur une partie de l'image : y a-t-il eu plusieurs versions ?
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Dessin préparatoire du "Créateur" pour l'illustration d'un missel Peintre, affichiste, dessinateur, Victor Lhuer est plus connu pour ses dessins de mode (notamment pour le couturier Paul Poiret).
Pour les éditions Ardant, il a réalisé plusieurs séries de dessins pour des missels et Evangeline, dans une traduction française parue en 1942.
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Dessin préparatoire pour l'illustration de Mauricette Installé dans la région de Caen, il est peintre, illustrateur et affichiste français. Malgré les vœux de son père, il part à Paris pour vivre de son art.
Il illustre des couvertures de cahiers scolaires, des partitions musicales, des livres pour la jeunesse, dont ceux des éditeurs Ardant.
Les dessins qu'il réalise pour "Mauricette" sont utilisés pour plusieurs éditions. Il reçoit pour cette série de dessins un forfait de 144 francs en 1909.
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Dessin préparatoire pour l'illustration de La case de l'oncle Tom Roger Coutisson des Bordes, né Marie Joseph Coutisson d'Auphelle des Bordes, est originaire de Royère-de-Vassivière. Il signe ses dessins et peintures « Coutisson des Bordes"
Blessé pendant la guerre 1914-1918, il est démobilisé en 1919. Il s’installe avec sa femme dans le Cantal.
Spécialiste du genre animalier, il est connu pour ses scènes de chasse à courre.
Pour les Ardant, il a réalisé des dessins pour Le masque de fer, Le colon de Van Diemen, Saint-Martin, La case de l’Oncle Tom ou encore pour L’Almanach.
19 des clichés réalisés pour cet ouvrage ont été gravés à la dimension 43 x 33,6 mm et préparés pour la nouvelle édition, série 81
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Dessin préparatoire pour l'illustration du Masque de fer Roger Coutisson des Bordes, né Marie Joseph Coutisson d'Auphelle des Bordes, est originaire de Royère-de-Vassivière. Il signe ses dessins et peintures « Coutisson des Bordes"
Blessé pendant la guerre 1914-1918, il est démobilisé en 1919. Il s’installe avec sa femme dans le Cantal.
Spécialiste du genre animalier, il est connu pour ses scènes de chasse à courre.
Pour les Ardant, il a réalisé des dessins pour Le masque de fer, Le colon de Van Diemen, Saint-Martin, La case de l’Oncle Tom ou encore pour L’Almanach.
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Modèle de plat de reliure pour "Autour d'une volière. Oiseaux De France Et Oiseaux Exotiques" de A. Dubois, paru en 1896 Ingénieur, il a travaillé pour le creusement du Canal de Suez (années 1859 à 1869) sous la direction de Ferdinand de Lesseps. Il s’installe dans un premier temps au Pérou où il épouse Isabel Guzman, dont il a une fille. En 1900 ; il achète une maison à l’exposition universelle, qu’il fait remonter à Vauhallan, où il réside.
La Bfm de Limoges conserve de nombreux dessins de sa main pour les éditions Ardant : dessins originaux pour des romans et récits, dessins préparatoires aux plats de reliure, destinés à être gravés sur percaline ou imprimés sur des cartonnages.
Celui-ci intègre le titre sur la couverture, mais il a aussi été décliné pour d'autres titres et récits.
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Tableau de l'extérieur du cheval Ce poster sur l'anatomie du cheval a été créé pour servir à la connaissance du monde agricole et des animaux. L'auteur le classe dans la catégorie de "l'imagerie agricole populaire", et s'est "inspiré des travaux des meilleurs agronomes français et étrangers". Le monde agricole français est alors en plein essor et mécanisation. Les notables qui gèrent les grandes exploitations ont à coeur de former les jeunes enfants, futurs agriculteurs, dans l'esprit d'une meilleure économie et connaissance de leurs activités professionnelles. Les années 1850-1860 sont aussi un moment où la presse agricole se multiplie, souvent localement. Cette imagerie appartenait peut-être à l'un de ces titres.
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Les amis des arts [de] Limoges : exposition du 10 mai au 3 juin : peinture, sculpture, émail Cette affiche complète le programme de l'exposition organisée par les Amis des arts de Limoges en 1923. Des émaux, tableaux, sculptures étaient présentés, issus des collections publiques ou de prêts privés. Leur but est de "favoriser le goût des arts" et montrer à voir la diversité des artistes limousins, mais pas uniquement.
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Dévotion au tombeau, Saint-Junien Parmi les dessins de Jean Virolle figurent des illustrations relatives à la foi et à la religion, tel le départ des pèlerins pour Lourdes, mais aussi cette dévotion au tombeau de Saint-Junien. La scène a lieu vraisemblablement durant les ostensions, eu égard aux gardes suisses qui gardent le tombeau durant son ouverture. Mes costumes ayant peu évolué entre 1911 et 1939, il est difficile de dater ce dessin
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Attelage de vaches chez les Senigout à La Maligne, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B140-n°2464)
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Famille Philippon à Ambazac - Fonds Boudeau (B140-n°2450)
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2442) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2441) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2440) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Enterrement à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2431) La photographie fut prise au bout de la rue de l’Église, sur l'actuelle place du 11 Novembre.
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Vente aux enchères des meubles Mitout, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2430) Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Vente aux enchères des meubles Mitout, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2429) Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Cyclistes sur la route allant à La Jonchère-Saint-Maurice - Fonds Boudeau (B138-n°2426) Difficile de localiser avec précision cette prise de vue, mais les notes du photographe nous indiquent "la route allant à La Jonchère". Elle fut donc très probablement prise près d'Ambazac, de Saint-Laurent-les-Églises ou de Saint-Sylvestre. Nous distinguons très clairement les monts d'Ambazac au fond.
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Portail du Couret, Saint-Laurent-les-Églises - Fonds Boudeau (B138-n°2424) Ce portail du milieu du 18e siècle date de la rénovation de l'abbaye de Grandmont sur la commune de Saint-Sylvestre. Finalement abandonnée au début du 19e siècle, elle n'est rapidement plus que ruines et les entrepreneurs locaux viennent s'y servir en pierres de taille. Le portail reste intact, bien qu'abîmé par le temps. Au début du 20e siècle, monsieur Fayolle de Corus de Chaptes achète le portail, le fait rénover et transporter devant sa propriété du Couret, sur la commune voisine de Saint-Laurent-les-Églises. Cette propriété est depuis longtemps devenue un centre de colonies de vacances pour les enfants de cheminots. Le portail est toujours à cet endroit, au bord de la route menant d'Ambazac à La Jonchère-Saint-Maurice, mais il est beaucoup mieux visible qu'à l'époque de cette prise de vue où on le voit envahi de lierre.