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Pont transbordeur du Martrou à Rochefort - Fonds Boudeau (B115-n°2085) Lors d'un séjour en Charente-Maritime, Jean-Baptiste Boudeau prend plusieurs photographies du pont transbordeur du Martrou, qui enjambe le fleuve Charente à Rochefort. Ce chef-d’œuvre du génie civil est dû à l'ingénieur Ferdinand Arnodin et fut inauguré le 29 juillet 1900.
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Pont transbordeur du Martrou à Rochefort - Fonds Boudeau (B115-n°2084) Lors d'un séjour en Charente-Maritime, Jean-Baptiste Boudeau prend plusieurs photographies du pont transbordeur du Martrou, qui enjambe le fleuve Charente à Rochefort. Ce chef-d’œuvre du génie civil est dû à l'ingénieur Ferdinand Arnodin et fut inauguré le 29 juillet 1900.
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Pont transbordeur du Martrou à Rochefort - Fonds Boudeau (B115-n°2083) Lors d'un séjour en Charente-Maritime, Jean-Baptiste Boudeau prend plusieurs photographies du pont transbordeur du Martrou, qui enjambe le fleuve Charente à Rochefort. Ce chef-d’œuvre du génie civil est dû à l'ingénieur Ferdinand Arnodin et fut inauguré le 29 juillet 1900.
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Pont transbordeur du Martrou à Rochefort - Fonds Boudeau (B115-n°2082) Lors d'un séjour en Charente-Maritime, Jean-Baptiste Boudeau prend plusieurs photographies du pont transbordeur du Martrou, qui enjambe le fleuve Charente à Rochefort. Ce chef-d’œuvre du génie civil est dû à l'ingénieur Ferdinand Arnodin et fut inauguré le 29 juillet 1900.
A l'entrée du pont, on reconnaît Marguerite, l'épouse du photographe.
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Groupe Lecardeur et Sénèque à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2074) Le jeune homme de droite, habillé en zouave, devait probablement effectuer son service militaire (qui durait alors deux ans) dans l'infanterie coloniale, peut-être au Maroc ou en Algérie. Nous l'imaginons volontiers en permission, retrouvant ici ses frères ou amis autour d'un apéritif.
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Noémie Lachaud à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2068-2069) Très élégante jeune femme posant devant le décor peint du photographe.
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Marguerite Mounaud et sa fille à Marsac, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B114-n°2070-2071) Beaux portraits d'une mère et sa fille, devant le décor peint et avec la chaise que le photographe transportait dans sa carriole.
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Le père Périgord à Costrenat, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2067) Belle allure pour ce vieux Limousin qui devait être né dans la première moitié du 19e siècle...
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Famille Buisson à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2064) Nous ne savons pas si les Buisson étaient des cousins ou simplement des amis ou voisins de Jean-Baptiste Boudeau, mais nous reconnaissons en tout cas dans ce groupe en promenade Marguerite Boudeau, l'épouse de Jean-Baptiste, et leur fils René, ainsi qu'Eugène, le frère du photographe.
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Marguerite et Gabrielle Desroches à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2060-2061) Jolis portraits des sœurs Desroches, de Saint-Priest-Taurion, à qui Jean-Baptiste Boudeau, certainement dans une recherche artistique, a demandé de poser "en cheveux". Il était assez rare à l'époque que les Limousines se montrent ainsi, sans coiffe ni couvre-chef, qui plus est les cheveux détachés...
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Le barrage de l'étang de Guillot à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B114-n°2059) Belle composition artistique de Jean-Baptiste Boudeau avec ces trois jeunes femmes, tout de blanc vêtues, qui posent sur le barrage de l'étang de Guillot.
Cet étang de la commune de Rilhac-Rancon est alimenté par la Cane, un gros ruisseau descendu de Saint-Sylvestre dans les monts d'Ambazac et qui, sur environ seize kilomètres, est alimenté par différents ruisseaux comme le Verrier, le Lavadour, la Mazelle ou encore le Cussou, pour grossir et devenir dans ses derniers kilomètres ce que l'on nomme le ruisseau du Palais. C'est en effet au Palais-sur-Vienne que ce joli petit cours d'eau, autrefois réputé pour ses truites sauvages, se jette dans la Vienne.
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L'église d'Eybouleuf - Fonds Boudeau (B113-n°2050) L'église Saint-Pierre-ès-Liens d'Eybouleuf date du 13e siècle et a été modifiée et restaurée au cours des siècles. Le portail date du 14e siècle ; le bas de la nef fut vraisemblablement maçonné au 17e siècle ; le clocher a été rebâti aux 18e et 19e siècles.
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L'église et le château d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2049) Dans le bourg d'Eyjeaux, situé à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges. A droite l'église romane du 12è siècle et à gauche le château du 15e siècle.
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Vue générale d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2047) Vue du bourg d'Eyjeaux, situé à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges. Au centre l'église romane et à gauche le château du 15e siècle.
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Château d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2046) Ce château situé à Eyjeaux, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges, fut bâti au 15e siècle pour l'écuyer Foulques de Junhac. Nous voyons ici la grosse tour circulaire de l'angle sud-ouest.
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L'église d'Eyjeaux - Fonds Boudeau (B113-n°2045) L'église de l'Ordination de Saint-Martin, située à Eyjeaux à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges, fut bâtie au 12e siècle et complétée au 15e siècle. Elle fut inscrite aux Monuments Historiques en 1926.
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Autoportrait Jean Virolle, professeur à l'école des arts décoratifs de Limoges a laissé une oeuvre peu connue quant à ses dessins d'esquisses, davantage pour ceux qui ont été inspirés par la première guerre mondiale, qui l'a beaucoup affecté. La seconde guerre mondiale renoue avec les horreurs et la mort, qu'il illustre dans "la danse macabre", parue en 1942. La Bfm de Limoges conserve un fonds de dessins, dont cet autoportrait, seule aquarelle de l'ensemble.
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Portail Imbert Aux angles de la rue du Portail Imbert et de la rue Haute de la Comédie, on reconnaît l’hôtel Maledent de Feytiat qui abrite aujourd’hui la DRAC. Le portail qui donna son nom à la rue, lui, a été démoli. La rue, en descendant vers la fontaine des Barres, fermait la rue Turgot dont la partie basse n’existait pas à l’époque.
(cote : MAG.P. Lim 59180)
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Rue Arbre-Peint et rue du Canard Le quartier du Verdurier était, comme le quartier voisin du Viraclaud, un quartier ancien et populaire, fait de plusieurs petites rues et abritant de nombreuses maisons de torchis et de bois, jugées insalubres. Il sera en grande partie rasé dans les années 1912-1913 pour faire place à la rue Jean Jaurès et à des constructions « en dur ».
La fontaine de l’Arbre-Peint débordait régulièrement et créait un véritable canal dans la rue descendant à la tour Vieille-Monnaie. De la déformation du mot canal viendrait donc le nom de la rue : Canard.
(cote : MAG.P. Lim 59180)
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Théâtre de Limoges (salle Berlioz) Le théâtre municipal de Limoges, œuvre de l’architecte Vincent Boullé, fut inauguré en 1840 place de la République. Théâtre à l’italienne, il propose majoritairement des opérettes et des vaudevilles. Il est officiellement rebaptisé Salle Berlioz en 1932. Sa capacité étant jugée insuffisante, il est supplanté par le Cirque-Théâtre, inauguré en 1925 à l'emplacement de l'actuel Opéra-Théatre. La Salle Berlioz, quant à elle, fut rasée en 1958, après de nombreuses années d'inactivité.
(cote : MAG.P.LIM 59180)