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Limoges
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Vue de la cathédrale de Limoges. Prise du coté de la tour.
Dès le 11e siècle, une cathédrale est élevée au cœur de la Cité. De ce premier édifice roman, il ne subsiste aujourd'hui que la crypte et les étages inférieurs du clocher. La construction de la cathédrale actuelle commença en 1273, mais les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. La cathédrale associe gothique rayonnant (abside et transept sud) et gothique flamboyant (portail Saint-Jean). Elle est finalement achevée le 12 août 1888 cote : 3FI42 (Bfm Limoges) -
Le 16 mai 1880 : la corporation de MM. les bouchers de Limoges et l'arrêté du 7 mai 1880 : la veille, le jour, le lendemain
Chaque année, la corporation des Bouchers, fière de sa piété et de ses reliques, organise une procession religieuse dans le quartier de la Boucherie à Limoges. Mais en 1880, un arrêté municipal interdit la manifestation : branle-bas dans les rangs de la corporation, débats, émois.... Le récit détaillé de ces événements qui secouèrent toute la Ville. cote : MAG.P LIM B4160 -
Une corporation au XXe siècle. Les bouchers de Limoges
Une analyse historique et sociologique pour comprendre la survivance de cette corporation au début du XXe siècle. Extrait de la Revue des idées, "Etudes de critique générale paraissant tous les 15 du mois". cote : MAG.P LIM 34114 (Bfm Limoges) -
Mémoire à consulter pour les propriétaires, fermiers, nourrisseurs et marchands de bétail de la province du Limousin, contre le fermier de la caisse de Poissy
La caisse de Poissy et celle de Sceaux étaient les deux principaux marchés approvisionnant Paris en bétail. Dès 1690, des officiers "trésoriers de la bourse des marchands de Sceaux et Poissy" ont servi d'intermédiaire entre les marchands de bestiaux parisiens et les bouchers. Ces vendeurs recevaient un sou par livre des bestiaux qui se consommaient à Paris. Si l'objectif avoué fut d'améliorer l'approvisionnement et de permettre aux marchands d'être rapidement payés, l'objectif inavoué eut la fâcheuse conséquence de faire augmenter le prix de la viande dans la capitale. Si ce droit fut supprimé en 1743 il fut rapidement rétabli, l'Etat ayant besoin de fonds pour faire face aux dépenses de guerre. cote : MAG.P LIM E1253/35 (Bfm Limoges) -
La question du Pont Saint-Etienne à Limoges
Retour sur les débats qui avaient agité la Ville concernant le projet de destruction et de reconstruction du Pont Saint-Etienne, dans une période de pleine modernisation et d'aménagement de Limoges. cote : MAG.P LIM 40207 (Bfm Limoges) -
Le Grand Séminaire de Limoges
Un grand séminaire, lieu de formation des prêtres, est ouvert à Limoges au 17e siècle. Il occupe des bâtiments du faubourg Manigne, vers l’église Sainte-Marie, jusqu’à la Révolution. Il s’installe ensuite un temps au couvent des Allois (place de la Cité) puis, au début du 19e siècle, des bâtiments sont construits pour l’accueillir sur les vestiges de l’abbaye bénédictine de la Règle, en grande partie détruite à la Révolution. En 1921, il déménage de l’autre côté de la Vienne, rue Eugène-Varlin. Il n'en reste aujourd'hui que le réfectoire (actuel Cité des métiers et des arts), ainsi que la chapelle de la Règle qui ne fut jamais consacrée. cote : 3FI41 (Bfm Limoges) -
La Vengeance de M. de Pourceaugnac : Comédie en un acte
Rentré dans ses terres limousines, Monsieur de Pourceaugnac, magnanime, sauve d'un mariage arrangé deux jeunes amants. Une suite revisitée à la pièce de Molière qui dépeignait Monsieur de Pourceaugnac en un limousin rustre et idiot. cote : MAG.P LIM 46033(Bfm Limoges) -
Molière et les Limousins...
Molière détestait les Limousins,et l'a bien fait savoir dans une de ses pièces en dépeignant Monsieur de Pourceaugnac. René Fage tente de trouver les raisons biographiques réelles et supposées de ce mépris qui coûta cher à la réputation des Limousins. cote : MAG.P LIM 40058/36 (BfmLimoges) -
Bâtir Limoges
Les espoirs enthousiastes d'un élu municipal au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale : "nous avons voulu simplement rassembler quelques idées dont beaucoup ne sont pas neuves sur les problèmes principaux qui seront à résoudre par les prochaines municipalités de Limoges". Le texte est dédié à Jean Lurçat et Henri Laurens. Il se clôt sur "Ce que devrait être Limoges en 1965". cote : MAG.P LIM B2573/16 (Bfm Limoges) -
L'eau de ma cave
2e lettre à la municipalité et au conseil municipal de Louis Guibert, écrivain et érudit, suite à l'inondation répétée de sa cave, située rue Elie Berthet à Limoges : la municipalité refuse d'admettre sa responsabilité dans le préjudice. Un texte de contreverse, drôle et plein d'esprit. Cote : MAG.P LIM 40693/4 (Bfm Limoges) -
Projet d'assainissement et d'amélioration de l'intérieur de la ville de Limoges
En sous-titre : "Première partie : de la place Manigne à la Maison Cruveilhier, par les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère, des Taules." Plan extrait de " De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules " concernant le projet de réalisation de la future rue Jean Jaurès. cote : cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges) -
De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules
Présentation du projet de création de la future rue Jean Jaurès. Limoges compte alors 42 000 habitants en 1852, une industrie florissante mais un tissu urbain encore insalubre et qui a peu évolué. Outre la description détaillée des travaux (percement des voies, alignement, financement...), le texte reprend une courte histoire de l'urbanisation de la ville et dresse l'état des lieux de l'époque . cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges) -
Halles centrales de Limoges à ériger sur la place de la Mothe, coupe plan et élévation
Paru dans le tome VII, n°25 (1885, 17 octobre) de la revue "Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères" (p.[385]-389) concernant la construction des Halles centrales de Limoges par les ingénieurs MM. Al. Levesque et G. Pesce. cote : MAG.P LIM 38899/25 (Bfm Limoges) -
Halles centrales de Limoges à ériger sur la place de la Mothe
Article paru dans le tome VII, n°25 (1885, 17 octobre) de la revue "Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères" (p.[385]-389) concernant la construction des Halles centrales de Limoges par les ingénieurs MM. Al. Levesque et G. Pesce. L' article reprend en détail les choix techniques et esthétiques de ce projet d'architecture en fer, directement inspiré des travaux de Baltard et encore audacieux à l'époque. cote : MAG.P LIM 38899/25 (Bfm Limoges) -
Le village de Sainte-Claire, près de Limoges.
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/27 (Bfm limoges) -
La Chiche de Saint-Martial
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean-Baptiste Tripon figure un bas-relief disparu représentant une figure accroupie pressant avec 2 boules en guise de mains, une lionne couchée allaitant trois lionceaux. Ce bas -relief, appelée vulgairement "chiche", c'est-à-dire chienne en "patois", précise-t-il, était dans la muraille de l'abbaye Saint-Martial et perpétuait le souvenir de la rage et de la victoire écrasante de Pépin le bref (la figure accroupie) écrasant l'Aquitaine, Waifre, duc d'Aquitaine et ses frères, les trois lionceaux. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Jules Noriac
Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges, est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs. C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste" (Le 101e régiment", "la Bêtise humaine", le"Journal du flâneur") Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879. Pilotell dessine un Jules Noriac triomphant sur son char. cote : FP NOR 10 (Bfm Limoges) -
Jules Noriac
Claude Antoine Jules Cairon dit Jules Noriac, né en 1827 à Limoges. est un journaliste et chroniqueur dans de nombreux journaux, dont le Figaro, hebdomadaire dont il était l’un des principaux rédacteurs. C'est aussi un écrivain à la réputation d'humoriste, pour des livres comme " Le 101e régiment" (1858), auquel pourrait faire allusion ce dessin d'Hyppolite Mailly . Auteur de vaudevilles et de livrets d'opérette, Jules Noriac dirigea en le Théâtre des Variétés de 1856 à 1869 et les Bouffes-Parisiens de 1868 à 1879. cote : FP NOR 02 (Bfm Limoges) -
Limoges en vitesse
Titre de couverture : "Couplets chantés dans Limoges en vitesse : revue en un tableau et quart jouée au Théâtre municipal de Limoges... Avec le portrait des auteurs". Sur la quatrième page de couverture, photo représentant les deux personnes de dos. -Compte rendu dans le "Courrier du Centre" du 11 mars 1907 et dans "Limoges illustré" du 1e avril 1907, sans identification des auteurs, vraisemblablement M. Filochot, chef d'orchestre du Théâtre et M. Dolne, directeur de la troupe. cote : MAG.P LIM 40681 (Bfm Limoges) -
Dieu le Père, en majesté
Peinture sur parchemin extrait du "Missale ad usum ecclesiae Lemovicense ". Dans les angles sont représentés les figurations symboliques des 4 Evangélistes. D' après l'historien Samuel Gras (auteur d'une thèse sur "L’Enluminure dans la vallée de la Loire du temps de Jean Fouquet"), cette peinture, comme la Crucifixion extraite du même recueil (voir Bibliothèque numérique du Limousin) serait l'oeuvre d'un enlumineur-émailleur actif à Limoges à la fin du Moyen Age. cote : RES.P LIM INC 24 (Bfm Limoges)