Contenus
Taguer
Limoges
-
M'zioud
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. Ce dessin est paru dans Le Courrier du Centre du 22 novembre 1914. On retrouve M'zioud, tirailleur algérien blessé, à plusieurs reprises. Ainsi une autre version est publiée dans le fascicule Les Blessés. -
Convoi des troupes anglaises des Indes
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 3 janvier 1915 et publié dans le fascicule Les Hindous. La reproduction du Courrier du Centre date ce passage de décembre 1914. -
La Soupe des Mobilisés, Place de la République.
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. -
Réfectoire des soldats, Place de la République.
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. La reproduction du Courrier du Centre fait état de territoriaux prenant leur repas. Les territoriaux étaient des soldats ayant atteint l'âge de 36 ans et étaient essentiellement employés aux services de l'intendance. Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 6 juin 1915 et publié dans le fascicule Nos Soldats. -
Prisonniers boches
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. À Limoges, les prisonniers allemands sont internés au Mas-Éloi. Une partie d'entre eux est enterrée dans les cimetières de Louyat et Chaptelat. Dessin paru dans Le Courrier du Centre du 21 mars 1915 et publié dans le fascicule Les Boches. -
Pour nos blessés.
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. De nombreux dessins ont pour thématiques les blessés. Alluaud habite en effet rue de la Grange Garat (actuelle rue Victor-Thuillat à Limoges) à côté de l'hôpital du Mas-Loubier où sa femme, Marcelle Alluaud, officie en tant qu'infirmière en chef. Quelques photographies sont également conservées. -
Allo ! Madam ti sais merci beaucoup beaucoup
Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché. Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat. Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats. Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue. Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches. -
Menu. Exposition des Arts et des Sciences. 1886
Menu tout en fantaisie et en invention (saumon préhistorique sauce microbes, cryptogames vénéneux...) à l'occasion de l'inauguration de l'Exposition des Arts et des Sciences de Limoges. Il y avait ce soir là, parmi les 68 prestigieux convives, le secrétaire d'Etat à l'enseignement public venu Paris pour la circonstance. cote : 3FI40 (Bfm Limoges) -
Exposition de la Ville de Limoges : distribution des récompenses aux exposants par le Prince Napoléon.
En 1858, Limoges et la Haute-Vienne, temple de l'industrie à bon marché, de l'agriculture en pleine santé, organise "l'Exposition des produits de l'Agriculture, de l'Industrie et des Beaux-Arts du Centre de la France". Limoges fait ainsi les honneurs de la presse pendant une semaine et t le Prince Jérôme Napoléon, cousin germain de l'Empereur Napoléon III, fait le déplacement pour la remise des prix. Le bâtiment présenté sur la gravure fut construit pour l'occasion sur le Champ de Juillet par l'architecte Régnault. Cet hangar de 132 m de long et 12 m de large, monumental et pittoresque, inspiré d'un château moyenâgeux, impressionna beaucoup par ses décors gothiques. cote : 3FI44 (Bfm Limoges) -
Compte-rendu des oeuvres de peinture, sculpture, dessin, gravure et des ouvrages d'art en porcelaine exposés : 1re exposition, mai 1862,
Présentation critique des oeuvres exposées lors du premier Salon des Beaux-Arts de Limoges en 1862. Index général en fin de recueil. cote : MAG.P LIM B908 (Bfm Limoges) -
Le Salon de 1862 à Limoges
Récit détaillé des oeuvres présentées au premier Salon des Beaux-Arts de Limoges de 1862 par un critique enthousiaste. Au programme : Delacroix Courbet, Puvis de Chavannes, Corot entre autres... cote : MAG.P LIM 18619 (Bfm Limoges) -
Le Dimanche des Rameaux à Limoges
Une sortie de messe des Rameaux devant la chapelle Saint-Aurélien de Limoges (quartier de la Boucherie). Dessinateur et graveur non identifiés. cote : 3FI49 (Bfm Limoges) -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 5.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 4.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 3.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 2.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Objets trouvés dans les fouilles de l'Evêché de Limoges, [Erotiques ] 1.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". JB Tripon auteur de ces dessins érotiques s'explique : "lors de la démolition de l'Evêché [de Limoges] en 1759, on découvrit plusieurs objets très curieux mais dont quelques uns étaient d'une obscénité révoltante, ce qui engagea Monseigneur d'Argentré, évêque, de les faire briser. Beaumesnil obtint la permission d'en dessiner mais ces dessins oont été perdus [...] Quelques uns de ces monuments avaient pu faire partie d'un ancien temple à Priape, force créatrice de la Nature. Les emblèmes qui dans l'état actuel de nos moeurs nous semble le délire de la dépravation n'étaient peut-être que l'expression d'un sentiment pieux et de l'espérance en l'immortalité. JB Tripon précise enfin : "tout en publiant ces dessins qui nous semblent d'un intérêt hautement puissant, par une réserve facile à comprendre, nous avons cru devoir interrompre l'ordre de pagination, afin qu'il fût facultatif à nos souscripteurs d'élaguer de l'ouvrage ces deux livraisons ." Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare (en raison de ces images érotiques) . Les érudits du XIXesiècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Fontaine en céramique à Limoges, 3.
Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901. concernant la construction de la fontaine en céramique de l'Hôtel de Ville de Limoges par l'architecte M. Genuys : "L'ossature est un granit du pays, la porcelaine n'intervient que comme élément décoratif. Les grandes vasques notamment s'appuient sur l'ossature de granit, et les armatures qui les maintiennent sont en bronze décoratif [...]. L'ornementation des vasques rappelle l'élément qu'elle contiennent par les poissons, les nénuphars. Les quatre figures d'enfants groupés autour du fût caractérisent les principaux travaux céramiques : l'un compose la forme d'un vase que son voisin exécute sur le tour, tandis qu'un troisième l'orne de sculptures et qu'un quatrième le revet de brillantes couleurs". MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges). -
Fontaine en céramique à Limoges, 2.
Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901. concernant la construction de la fontaine en céramique de l'Hôtel de Ville de Limoges par l'architecte M. Genuys : "L'ossature est un granit du pays, la porcelaine n'intervient que comme élément décoratif. Les grandes vasques notamment s'appuient sur l'ossature de granit, et les armatures qui les maintiennent sont en bronze décoratif [...]. L'ornementation des vasques rappelle l'élément qu'elle contiennent par les poissons, les nénuphars. Les quatre figures d'enfants groupés autour du fût caractérisent les principaux travaux céramiques : l'un compose la forme d'un vase que son voisin exécute sur le tour, tandis qu'un troisième l'orne de sculptures et qu'un quatrième le revet de brillantes couleurs". MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges). -
Fontaine en céramique à Limoges, 1.
Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901. Si le nouvel hôtel de ville est inauguré en 1883, la fontaine qui orne son square est un peu plus tardive. Réalisée en 1893, elle est d'abord prévue pour la place de la République, mais c'est finalement le jardin de l'Hôtel de Ville qui sera sa destination. Construite sur les plans de l'architecte Charles Genuys et sous la houlette d'Auguste Louvriers de Lajolais, alors directeur de l’École nationale des Arts décoratifs de Limoges (les élèves participent au projet), elle se compose notamment de granit, pierre limousine par excellence, de bronze, de porcelaine et d'émail champlevé, mettant ainsi à l'honneur la tradition des arts du feu à Limoges. MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges).