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Limoges
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Les Sabines de Limoges ou l'Enlèvement singulier
"Vaudeville héroïque en un acte : imitation burlesque de l'enlèvement des Sabines. Représenté pour la première fois à Paris, sur le théâtre des Variétés, Boulevard Montmartre , le 1er août 1811." cote : MAG.P LIM B1214 (Bfm Limoges) -
La fontaine des Fantaisies, près de la Porte de Tourny.
En 1769, l’intendant Turgot commande à J.-B. Trésaguet la construction d'une nouvelle fontaine près de la Porte Tourny. Achevée en 1772, les habitants de Limoges la trouvèrent si jolie qu'ils l'appelèrent "Fontaine des Fantaisies". Constituée d’un bloc de granit de 3 mètres de hauteur surmonté d'une urne monumentale, elle fut démolie en 1854. Gravure extraite de "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". (cote : MAG.P LIM 33272/2) -
Plan de Limoges, 1942
Echelle 1/10 000e, avec détail du centre-ville en vignette. -
Grotesques
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait du livre IV planche LVII de "De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures. Il a été relié avec un autre livre intitulé De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Autoportrait
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait du livre I planche LXIIII de "De Regole Generali de Architectura" de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures. Il a été relié avec un autre livre intitulé "De Artificiali Perspectiva Viator" de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Héros antique
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 28 du De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures. Il a été relié avec un autre livre intitulé De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Scène d'extérieur avec chien.
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 28 du De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures et des paysages, modèles de perspectives pour les peintres. Il a été relié avec un autre livre intitulé De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Diane Chasseresse
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 18 du De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures et des paysages, modèles de perspectives pour les peintres. Il a été relié avec un autre livre intitulé De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Scène de famille en intérieur
Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 16 du De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures et des paysages, modèles de perspectives pour les peintres. Il a été relié avec un autre livre intitulé De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance. cote : RES.P X398 (Bfm Limoges) -
Visite d'un parisien à Limoges à l'occasion du concours régional de 1879
Le récit d'un parisien en séjour à Limoges, et son constat sur la ville, ses habitants, ses notables, etc... cote : MAG.P LIM 18167 (Bfm Limoges) -
Françou
"François" . Court recueil de textes en occitan, que l'on nomme aussi des "gnorles" (des histoires drôles et souvent crues en vers ou en prose). cote : MAG.P LIM 15965/e (Bfm Limoges) -
Limoges
extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges). -
Antoine-Joseph Gorsas
Né à Limoges le 21 septembre 1751, fils de Barthélémy Gorsas, cordonnier, et de Magdeleine Rimbeuf. Chef d'institution à Versailles, imprimeur-libraire, pamphlétaire et journaliste, fonda en 1789 le Courrier de Versailles (ou Courrier de Paris) qui devint le Courrier des 83 Départements (1790-1793), député de Seine-et-Oise à la Convention, décrété d'arrestation avec les Girondins le 2 juin, il fuit Paris et rallie l'insurrection fédéraliste de Normandie. Condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire et exécuté à Paris le 7 octobre 1793. Il a aussi utilisé le pseudonyme : "Démocrite, imprimeur-libraire de Son Allégresse Sérénissime Falot Momus, à Pampelune, au Grelot de la Folie". cote : FP GOR 02 (Bfm Limoges) -
Denis Dussoubs
Héros martyr de la République, Denis Dussoubs, né len 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, meurt lors des événements de résistance au coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte en 1851. En février 1848, Denis Dussoubs participe activement à la Révolution à Limoges. Suite à l’émeute d'avril 1848 au cours de laquelle des ouvriers limougeauds s’emparent de la préfecture, il est condamné à deux ans de prison. Le 4 décembre 1851, au surlendemain du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, des députés tentent d’organiser la résistance. Denis prend alors l’écharpe tricolore de son frère Gaston ( alors député démocrate) pour se rendre sur la barricade de la rue Montorgueil à Paris. S’avançant seul et désarmé face à la troupe pour convaincre les soldats de se rallier à la République, il y meurt d’une balle de fusil. On dit même que le commandant, ému par tant d'éloquence et de bravoure, tenta de le dissuader de poursuivre son action désespérée. Victor Hugo en fait le récit dans son ouvrage "Histoire d'un Crime" (voir bibliographie). Voici donc comment mourut héroïquement Denis Dussoubs. La ville de Limoges lui dédia une statue sur la place qui porte son nom et Paris un nom de rue situé dans le quartier qui fut le théatre de ces tragiques évènements. cote : FP DUS 01 (Bfm Limoges) -
Cathédrale de Limoges
Une vue de la cathédrale inachevée, les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. A gauche, la tour que les Limougeauds appelaient traditionnellement la « tour Foucaud » jusqu’à sa démolition dans les années 1860. C’est là que le célèbre révolutionnaire et fabuliste occitan Jean-Baptiste Foucaud (1747-1818) passa les dernières années de sa vie. Extrait du Moyen Age pittoresque. France XIIIe et XVe. cote : 3FI 18. (Bfm Limoges) -
Marché place de la Motte
Motte signifie tertre, butte féodale. Si personne aujourd’hui ne peut avoir connu la place de la Motte telle qu’elle était au moment de cette prise de vue, les Limougeauds les plus âgés se rappellent en revanche des marchés de porcelaine où les vendeurs et vendeuses, pour attirer le chaland, menaçaient de briser leur marchandise si personne ne la leur achetait. Ils mettaient parfois leur menace à exécution, provoquant l’effroi des clients et clientes qui s’empressaient alors de sortir leur porte-monnaie pour sauver la belle céramique… cote : 9FI 457 (Bfm Limoges) -
Cathédrale de Limoges
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges) -
Limoges
Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm limoges) -
En sortant du pont Saint-Étienne
Vue depuis le pont Saint-Étienne. Trois "Ponticauds" posent à l'entrée de leur quartier, l'Abbessaille. Derrière eux monte la rue du Pont Saint-Étienne, l'une des dernières rues conservées de ce quartier historique, presque entièrement rasé pour cause d'insalubrité au début du 20e siècle. Ces trois hommes, qui semblent nous barrer la route, pourraient illustrer le célèbre dicton : « Tu séï daus Pounts ? Passo ! Tu n’en séï pas ? Dïn l’aïgo ! » ("Tu es des Ponts, tu passes ; tu n'en es pas, tu ne passes pas !") cote : 9FI502/7 (Bfm limoges) -
Au Pont Saint-Etienne, en remontant la Vienne rive droite
Le Pont Saint-Etienne sous un autre angle de vue, et toujours en présence des laveuses. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/1 (Bfm limoges)