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Limoges
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Remarques sur les fautes et faussetez de la table intitulée, table chronologique historique, contenant l'abrégé fidelle de tout ce qui s'est passé de remarquable dans le Limousin, depuis les conquestes des Romains jusqu'en l'an 1666.
en sous titre : "Mémoires pour l'histoire du Limousin, suivant ses anciennes limites qui comprenaient tout ce que contiennent les Diocèses de Limoges et de Tulle" D'après Alfred Leroux, le sieur Maldamnat ne serait autre que le cardinal Etienne Baluze. Ce qui est certain c'est que son auteur fait preuve de curiosité et d'érudition - dans ce courant de résurrection historique de l'Antiquité que continue le XVIIe siècle- et qu'il lui importe de faire oeuvre historiographique. A l'époque de la parution de cet ouvrage, un certain Bonaventure de Saint-Aimable entreprenait de rédiger une Histoire de Saint-Martial. La puissante Compagnie du Saint-Sacrement invitait à souscrire en faveur de cette entreprise qui devait compter 3 tomes. Une histoire bien trop légendaire au goût du sieur Maldamnat, car formulée par des dévots plus enclins au zèle religieux qu'à la science historique. Maldamnat entend faire taire ces faux historiens et empêcher que l'Histoire du Limousin ne retombe "dans des désordres pires que ceux dont on tasche de la purger depuis des années". cote : MAG.P LIM 34112 (Bfm Limoges) -
La cour de l'ancien musée Adrien Dubouché
C''est en 1865 qu' Adrien Dubouché devint directeur du musée de Limoges créé vingt ans auparavant. Il demanda rapidement l' installation des collections dans les locaux de l' ancien hospice d' aliénés du Champ de Foire. Le musée passa institution nationale en 1881, et la croissance exponentielle des collections nécessita la construction d'un nouveau bâtiment, inauguré en 1900. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/47 (Bfm Limoges) -
L'entrée du faubourg Saint-Martial
Le faubourg Saint-Martial, rive droite, au bout du pont du même nom, est l'un des principaux quartiers des Ponts avec le Clos Sainte-Marie, l'Abbessaille et le Naveix. Considéré par certains comme le plus ancien quartier de Limoges (par sa proximité avec la Roche au Gô, réputée être le berceau de la ville antique), le faubourg Saint-Martial a en partie été conservé. Les crépis gris des maisons visibles sur cette photographie ont aujourd’hui laissé la place aux jolis colombages rouges et verts. cote : 9FI502/44 (Bfm Limoges) -
Les bords de l'Auzette
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/29 (Bfm limoges) -
Vue prise à côté de la maison centrale
La Maison Centrale de détention était installée depuis 1810 dans l’ancienne abbaye des Bénédictins, devenue ensuite caserne du 63e Régiment d’Infanterie, puis démolie pour le percement de l’avenue Jean-Gagnant. Elle était située près de l'actuelle gare des Bénédictins, sur les vestiges d'une ancienne abbaye de la confrérie de Saint-Maur. Au fond, on aperçoit les deux clochers à bulbe de l'ancien collège des Jésuites, devenu lycée Gay-Lussac en 1889, le clocher de l'église Saint-Pierre et à droite celui de Saint-Michel. cote : 9FI502/19 -
Le ramier sur la Vienne, vue du Naveix
En amont du pont Saint-Étienne, le "ramier", installé sur la Vienne et contre lequel les bûches en flottage venaient s'échouer, était très sollicité par les industries porcelainières. Ce ramier fut emporté par les eaux après 1885. En arrière-plan le quartier du Naveix, dont toute la vie était liée à la rivière et à ses différents travaux, qui fut entièrement rasé au cours du 20e siècle. cote : 9FI502/13 (Bfm limoges) -
Les laveuses de l'Abbessaille
Au bas de l’Abbessaille, sous la cathédrale (actuel Quai Louis-Goujaud), les lavandières s’affairent. Les "Ponticaudes" qui ne travaillent pas dans les fabriques voisines ont pour principale activité de laver le linge des « Vilaudes », les bourgeoises et commerçantes de Limoges. La photographie semble être prise depuis le bout du pont Saint-Étienne. Les maisons que l’on voit à droite furent rasées dès les années 1900. cote : 9FI502/5 (Bfm limoges) -
Rue Viraclaud
La rue Viraclaud était la plus longue (70 mètres) et la plus large (5 mètres) de toutes les ruelles (appelées chareirous en occitan limousin) qui montaient à la place Sainte-Rochette. Elle donna son nom au quartier dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi209 (Bfm Limoges) -
Rue Vigenaud
La rue Vigenaud, parallèle à la rue de la Châdre, partait de la rue des Combes et rejoignait la rue Sorétas pour déboucher place Saint-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi208 (Bfm Limoges) -
Rue Vigenaud
Vers 1896, Jean Faissat, photographe des monuments historiques, est chargé par la municipalité de mener une campagne photographique dans le quartier Viraclaud (à l'emplacement de l'actuelle Préfecture) avant sa prochaine démolition. Le traumatisme du grand incendie de Limoges en 1864 pousse en effet la municipalité à mener une politique d'assainissement des vieux quartiers. On découvre sur ces photos un Limoges tortueux et délabré. cote : 9FI207 (Bfm Limoges) -
Rue Pélisson
La rue Pélisson partait de la rue des Combes pour arriver rue Vaulry, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture.. Vers 1896, Jean Faissat, photographe des monuments historiques, est chargé par la municipalité de mener une campagne photographique dans le quartier Viraclaud (à l'emplacement de l'actuelle Préfecture) avant sa prochaine démolition. Le traumatisme du grand incendie de Limoges en 1864 pousse en effet la municipalité à mener une politique d'assainissement des vieux quartiers. On découvre sur ces photos un Limoges tortueux et délabré. cote : 9FI206 (Bfm Limoges) -
Rue Pélisson
La rue Pélisson partait de la rue des Combes pour arriver rue Vaulry, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9FI205 (Bfm Limoges) -
Rue de la Châdre
La rue de la Châdre ne faisait que 3 mètres de large. Elle partait de la rue des Combes pour arriver place Sainte-Rochette, dans le quartier du Viraclaud dont la démolition fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9FI204 (Bfm Limoges) -
L'instruction populaire et les écoles primaires à Limoges
Album contenant l'histoire de l'enseignement primaire et la monographie de chaque école de la ville de Limoges. Ouvrage manuscrit réalisé à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1900. cote : Ms 272 (Bfm Limoges) -
Rue du pont Saint-Etienne, rue Saint-Etienne
Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges) -
Rue du Canal, rue de la Boucherie
Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges) -
Place des bancs, rue du Consulat, rue de la Cruche d'or
Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges) -
Rue Fourie, rue Jean Jaurès, ancienne abbaye Saint-Martial
Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges) -
Rue Ferrerie, place de la Motte
Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges) -
Croix processionnelle
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 182 r° . Cette grande croix à double traverse en argent doré et cabochons incrustés reprend la forme des croix reliquaires dite "d'outremer" qui firent la renommée des emailleurs limousin du Moyen-âge. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges)