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Limoges
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Encensoir
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 144 r°. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Panonceau
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 82 v°. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Bourdon
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 70 v°. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Navette à encens
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 54 v° : navette à encens fermée par un couvercle. On devine à droite, le manche de la cuillère, fixée par une chainette, qui permettait de prendre les petites boules d'encens. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Bénitier
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 51 v° : bénitier en argent, avec coupe en forme de coquille profonde. les réhauts de peinture en camaIeu de bleu évoquent les tonalité de l'argent. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Encensoir
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 36 r° : dessin inachevé à l'encre brune d'un encensoir. Ses formes architecturales (dôme et colonnade) s'inspirent du répertoire décoratif de la renaissance. Au centre de la coupe, un cartouche porte l'inscription "F.MALHOT", vraisemblablement le nom de l'orfèvre pressenti. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Frontispice représentant l'emblème de la confrérie du Saint-Sacrement
Le livre des comptes de la Confrérie du Saint Sacrement, fol 2v°. Ce "Livre de receptes et de mises de la confrérie de la feste de Dieu establie dans l'église de St. Pierre-du-Queyroy de Limoges" est un registre de comptes et d'inventaire des biens, destiné à vérifier l'utilité des dépenses du mobilier liturgique, des objets de dévotion et de décoration faites par la confrérie en l'honneur du culte. Dès le début de sa rédaction, les bayles de la confrérie décident de rétribuer des peintres afin qu'ils dessinent les "pourtraicts" des nouvelles réalisations. Ces illustrations (une vingtaine) suivent les règlements effectués auprès des orfèvres ou des autres artisans, rendant la lecture moins fastidieuse. La valeur esthétique de ces enluminures se double d'un intérêt documentaire puisqu' aucune des oeuvres reproduites ne nous sont parvenues. On retrouve néanmoins certains de ces objets représentés sur la façade de l'église de St. Pierre-du-Queyroix (partie droite, sur deux bas-reliefs). cote : GG204 (Archives municipales de Limoges) -
Vierge tenant l'enfant Jésus
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 166 r°. Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA1 (Archives municipales de Limoges) -
Sainte Valérie présentant sa tête à Saint Martial
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 r°. Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges) -
Première page des coutumes du Château
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 113 r°. Première page des coutumes du Château, confirmées en 1260 par le roi d'Angleterre Henri III. On peut lire écrit en rouge : " Eysso son las codumas libertat e franchesas dela viela e chastel de Letmoges aproadas donadas e conformadas per Anri jadis reys d'Anglaterra senhor d'Irlanda e de Guyana e per Oudoart prince de Galas e de Guyana filli anannat deu dich Oudoart rey d4anglaterra e per Charle la gracia de Dieu reys de Franssa" (Voici les coutumes, libertés et franchises de la ville et château de Limoges approuvées, données et confirmées par Henri jadis roi d'Angleterre, seigneur d'Irlande et de Guyenne, et par Edouard prince de Galles et de Guyenne fils aîné du dit Edouard d'Angleterre et par Charles roi de France par la grâce de Dieu.) Les premières coutumes de Limoges datent de 1212. Elles ont été confirmées en 1260 par le roi d'Angleterre Henri III au moment où le Limousin relève des Plantagenets, à la fois ducs d'Aquitaine et rois d'Angleterre. Entre la fin du XIIIe siècle et la fin du XIVe siècle, Limoges passe alternativement de la tutelle française à la tutelle anglaise. Ce qui explique les différentes confirmations rappelées dans de ce texte. Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges ( l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges) -
Serment des Consuls
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 v°. Traduction : "Messieurs , vous jurez sur les saints Evangiles que vous tiendrez et vous garderez cette ville en votre pouvoir sous la vraie et bonne soumission et obéissance au roi, notre souverain seigneur, et que vous prendrez bien et loyalement soin du gouvernement de la ville. Vous lui procurerez le bien, la gardez du mal (...) Et par la volonté et le consentement du peuple de cette ville et par l'élection qui vient d'être faite, nous vous établissons consuls et gouverneurs de ladite ville et de ses habitants, pour une durée d'un an. et nous vous mettons en sa possession, priant Dieu que, par sa grâce, il vous donne d'en jouir ainsi que nous tous.". Il s'agit de la formule de serment que que prêtaient les consuls à leur entrée en charge. Les consuls étaient élus et renouvelés chaque année. ils sont au nombre de 12, 10 pour les 10 quartiers de la ville, 2 pour les faubourgs. Le locuteur ("nous") est l'Hospital, assemblée des notables, à laquelle les consuls rendent des comptes à la fin de leur mandat. Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges) -
Crucifixion
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 r°. Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Au verso de ce folio, on peut lire l'inscription "Lo sacrement que an acoustumat a far los senhours quant sont eligitz consuls nouveaux". Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA1 (Archives municipales de Limoges) -
Le Christ en majesté
Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 8 v° : le Christ en manteau bleu doublé de rouge, tenant un globe dans la main gauche et bénissant de la main droite. Au quatre angles du cadre ovale, les symboles des quatre évangélistes. Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Au recto de ce folio, on peut lire l'inscription "Lo sacrement que an acoustumat a far los senhours quant sont eligitz consuls nouveaux". Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA1 (Archives municipales de Limoges) -
Album Pouyat.
Catalogue de porcelaine de la manufacture Pouyat. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les porcelaines Pouyat étaient réputées pour la qualité de leurs blancs, mais aussi pour leur décor à jour et leurs pièces grands feu. Grande famille de porcelainiers (le grand-père François exploitait des carrières de kaolin dès la fin du XVIIIe siècle), les Pouyat sélectionnaient la porcelaine la plus blanche et la plus translucide, s'attachant aussi à travailler avec des artistes de talent. L'entreprise fut présente à toutes les Expositions Universelles (sauf celle de 1867) et jusqu'au début du XXe siècle. Dans cet album de photographies et dessins on retrouve d'ailleurs bon nombre de services primés lors de ces ces Expositions. On y voit le fabuleux surtout dit "aux échassiers" du célèbre service Cérès (qu'on peut admirer aujourd'hui au musée Adrien Dubouché), mais aussi le service"mousseline" présenté en 1862 qui fit reconnaître aux anglais eux-mêmes la supériorité de la Manufacture Pouyat, "la seule qui ait eu l'audace d'une telle simplicité". cote : K170 (Bfm Limoges) -
Rues Haut-Lansecot et du Cheval-Blanc à Limoges, incendiés dans la nuit du 7 mai.
cote : 3FI89 (Bfm Limoges) -
Le Casino de Limoges
Le Casino, salle de spectacle pouvant accueillir 500 personnes place de la République (à cet emplacement sera ensuite bâti le cinéma l’Omnia dans les années 1950, remplacé ensuite par le Café République) est inauguré en janvier 1901. On y présentera surtout des opérettes, des revues, des farces, des vaudevilles. Son architecte Charles Planckaert (1861-1933) le conçoit dans le style Art nouveau, plutôt rare à Limoges. cote : 9FI468 (Bfm Limoges) -
Le Port du Naveix
Le Naveix (probablement du latin navigium : bateau, navigation), est celui des quartiers des Ponts dont il ne reste absolument rien. Jugé trop insalubre, il fut entièrement rasé dans les années 1970. La base nautique, les terrains de pétanque, le boulevard, la maison de retraite et la patinoire l’ont remplacé. Charles Giroux est né à Limoges. Régulièrement exposé aux Salons parisiens entre 1880 et 1910, il est membre de la Société Française des amis des arts, ainsi que sociétaire des Artistes français. Aquafortiste, ses travaux les plus connus sont des gravures d'interprétation. Charles Giroux a également réalisé un ensemble d'estampes représentant les paysages limousins. cote : 3FI88 (Bfm Limoges) -
Cul de sac près de la rue du Masgoulet
Dominant le quartier du Naveix, rive droite, la rue du Masgoulet avait une importance capitale pour les nombreux habitants qui la peuplaient : c’est elle qui séparait ces Ponticauds du reste de la ville, qui délimitait leur quartier. A partir de 1947, le Masgoulet vit s’installer plusieurs prêtres ouvriers, dont Henri Chartreux fut le pionnier. Ces curés d’un nouveau genre furent rapidement adoptés et chéris par le peuple des Ponts. La rue du Masgoulet fut totalement remaniée lorsque ses maisons furent détruites avec le reste du Naveix, dans les années 1970. cote : 9Fi502/16 (Bfm Limoges) -
La rue de la Boucherie partie haute
Vue de la rue de la Boucherie depuis la rue Lansecot. La rue de la Boucherie affiche ses pièces de viande fraiche, disposées sur tables et bancs, pendues aux crocs et cordes. Le pavé gardera sa teinte rouge sang plusieurs années après la disparition des bouchers. cote : 9FI502/14 (Bfm limoges) -
Pont Saint-Étienne et quartier de l'Abbessaille
Cette vue du pont Saint-Étienne, de l'Abbessaille et de la cathédrale de Limoges est un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du 19e siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au 20e siècle. Mais ici le point de vue est un peu différent, puisque le photographe se place à la sortie du pont et non pas plus loin, au bord de l'eau. cote : 9Fi502/12 (Bfm Limoges)