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Haute-Vienne : dictionnaire biographique et historique illustré L'ambition de la collection "les dictionnaires biographiques & historiques départementaux illustrés" était, au début du XXème siècle, de faire passer à la postérité des personnalités qui ont illustré leur pays par leurs activités scientifiques, culturelles, commerciales, économiques, politiques ou sociales. Classés par département, ils bénéficiaient de la contribution d'auteurs locaux. L'ouvrage commence par une histoire générale du département et de ses principales communes. L'essentiel est ensuite composé de notices biographiques classées par ordre alphabétique, avec un appendice qui ajoute quelques personnalités. Les dernières pages sont composées de notices commerciales. L'ensemble est illustré par de nombreuses photographies en planches hors texte. Pour la plupart des personnalités, l'adresse de résidence est précisée.
C'est une source importante pour la généalogie de la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle.
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Abrégé de grammaire limousine : bas-limousin, haut-limousin, marchois Cet abrégé a été publié en 1950 dans les "Mémoires de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse", t. 30, fasc. 2. Paul-Louis Grenier, originaire de la Creuse, a fait toute sa carrière à la bibliothèque nationale, après un court passage à la bibliothèque municipale de Limoges. Élève de l'école des chartes, il rédige une thèse sur l'histoire de Limoges, puis devient conservateur de bibliothèque. Il a consacré sa retraite à l'écriture, de poésies (le plus souvent bilingue français-occitan) et à la langue occitane elle-même.
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Il était un petit navire.... L'action de ce roman des frères Tharaud se passe en Bretagne, plus précisément à Saint-Malo, où le narrateur conte sa relation à la mer et à la navigation. Pierre Falké en a réalisé les lithographies, dont un tirage à part accompagne d'exemplaire de la Bfm de Limoges. Graveur, dessinateur de presse, il a également illustré "terre de Chanaan" de Louis Chadourne, autre auteur du Limousin.
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Oradour-sur-Glane, le village exterminé Témoignage d'un habitant de Saint-Junien constatant le massacre d'Oradour-sur-Glane ; ce document a été identifié dans le fonds Antoine Perrier. La fin du texte porte comme date : 18 juin 1944.
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Dévotion au tombeau, Saint-Junien Parmi les dessins de Jean Virolle figurent des illustrations relatives à la foi et à la religion, tel le départ des pèlerins pour Lourdes, mais aussi cette dévotion au tombeau de Saint-Junien. La scène a lieu vraisemblablement durant les ostensions, eu égard aux gardes suisses qui gardent le tombeau durant son ouverture. Mes costumes ayant peu évolué entre 1911 et 1939, il est difficile de dater ce dessin
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Drapeaux bannières insignes : articles divers pour fêtes, illuminations décorations Catalogue de fanions, bannières, récompenses, feux d'artifices sans doute rapporté par un donateur de la Bfm au début du XXème siècle au retour d'un salon parisien
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Attelage de vaches chez les Senigout à La Maligne, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B140-n°2464)
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Famille Philippon à Ambazac - Fonds Boudeau (B140-n°2450)
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2442) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2441) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Noyée à l'usine des Roches, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B139-n°2440) Des ouvriers de la papeterie des Roches, en bords de Vienne, sortent de l'eau une femme noyée.
Si nous pouvons être choqués aujourd'hui par l'air détendu voire souriant qu'affichent certains visages sur la photo, nous devons comprendre que les noyades et autres morts brutales étaient très fréquentes à l'époque et que ces Limousins étaient malheureusement habitués à ce genre d'évènements.
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Enterrement à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2431) La photographie fut prise au bout de la rue de l’Église, sur l'actuelle place du 11 Novembre.
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Vente aux enchères des meubles Mitout, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2430) Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Vente aux enchères des meubles Mitout, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B138-n°2429) Les Mitout étaient une famille de commerçants et entrepreneurs établis à Saint-Priest-Taurion. Est-ce à la suite du décès ou de la faillite de l'un d'eux que ses meubles furent mis aux enchères ? Jean-Baptiste Boudeau a, quoi qu'il en soit, saisi l'occasion d'immortaliser une scène de la vie locale, comme il aimait de plus en plus le faire à cette époque, à la façon d'un photographe de presse.
On reconnaît au fond le vieux lavoir de Saint-Priest-Taurion.
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Cyclistes sur la route allant à La Jonchère-Saint-Maurice - Fonds Boudeau (B138-n°2426) Difficile de localiser avec précision cette prise de vue, mais les notes du photographe nous indiquent "la route allant à La Jonchère". Elle fut donc très probablement prise près d'Ambazac, de Saint-Laurent-les-Églises ou de Saint-Sylvestre. Nous distinguons très clairement les monts d'Ambazac au fond.
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Portail du Couret, Saint-Laurent-les-Églises - Fonds Boudeau (B138-n°2424) Ce portail du milieu du 18e siècle date de la rénovation de l'abbaye de Grandmont sur la commune de Saint-Sylvestre. Finalement abandonnée au début du 19e siècle, elle n'est rapidement plus que ruines et les entrepreneurs locaux viennent s'y servir en pierres de taille. Le portail reste intact, bien qu'abîmé par le temps. Au début du 20e siècle, monsieur Fayolle de Corus de Chaptes achète le portail, le fait rénover et transporter devant sa propriété du Couret, sur la commune voisine de Saint-Laurent-les-Églises. Cette propriété est depuis longtemps devenue un centre de colonies de vacances pour les enfants de cheminots. Le portail est toujours à cet endroit, au bord de la route menant d'Ambazac à La Jonchère-Saint-Maurice, mais il est beaucoup mieux visible qu'à l'époque de cette prise de vue où on le voit envahi de lierre.
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Château de La Chapelle, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B137-n°2420) Ce château situé au village de La Chapelle, sur la commune de Saint-Léonard, date probablement du 17e voire du 16e siècle, mais il fut totalement rénové et remanié au 19e siècle, ce qui lui donne une allure plutôt moderne. Il conserve cependant une porte sculptée très ancienne.
Il est également connu pour son pigeonnier circulaire, que l'on voit bien sur cette photographie.
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Moulin du Dognon, Le Châtenet-en-Dognon - Fonds Boudeau (B136-n°2405) Ce très ancien moulin à céréales se situait sur la Bobilance, petite rivière, à quelques mètres de sa confluence avec le Taurion.
Ce moulin a été noyé lors de la mise en service du barrage de Saint-Marc au début des années 1930.
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Famille à La Gasnerie, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B136-n°2404) Beau portrait d'une famille paysanne endimanchée.
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Affiche de la distillerie Faucher - Fonds Boudeau (B136-n°2401) Jean-Baptiste Boudeau photographie une jolie affiche publicitaire, que nous aimerions voir en couleurs, placardée dans on ne sait quel bourg haut-viennois.
La réclame est celle de la distillerie B. Faucher et fils, qui était installée au 16 avenue des Bénédictins à Limoges. La ville comptait, à cette époque, plus d'une quinzaine de distillateurs et liquoristes. Il faut dire que, comme le prouve cette affiche, on prêtait à l'époque des vertus médicinales à nombre de ces "élixirs" alcooliques...