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Avantages des prairies naturelles en Limousin Tiré à part d'un article inclus dans le n°2, 3e année (1839, août) de la revue de la revue "Journal d'agriculture pratique, de jardinage et d'économie domestique" (p. [49]-57).
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Herd-Book de la race limousine pure : 1er bulletin des inscriptions dites d'origine contient un répertoire alphabétique des propriétaires ayant des animaux classés au herd-book de la race bovine limousine, avec le nom et le n° d'inscription des vaches et taureaux ; il contient également les statuts du herd-book, livre généalogique.
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François Duc de Noailles, né au château de Noailles près Brives en Limousin né en 1519 à Noailhac (Corrèze) et morten 1585, protonotaire, ambassadeur de France à Venise, Londres, Rome et Constantinople et évêque non consacré de Dax de 1556 à 1562.
Cote : FP Noailles-Adrien (Bfm Limoges)
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Le M[aréch]al [Adrien-Maurice] de Noailles Né en 1678, époux de la nièce de Mme de Maintenon, militaire, diplomate, Maréchal de France. Ministre des affaires étrangères Comte d'Ayen, 3ème duc de Noailles.
Cote : FP Noailles-Adrien (Bfm Limoges)
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Le Duc [Paul] de Noailles (1819), né le 4 janvier 1802 Né à Paris, le 4 janvier 1802. Chevalier de la Toison d'Or, orateur parlementaire et auteur d'une Histoire de Mme de Maintenon. Ami et confident de Chateaubriand, il se présenta à l'Académie pour lui succéder en 1849 (Honoré de Balzac obtint 4 voix). Ce résultat souleva des colères et des protestations dans la presse littéraire et dans le public lettré.
Mort le 29 mai 1885.
Cote : FP Noailles-Paul (Bfm Limoges)
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Nadaud Martin : né à La Martinèche, (Creuse) le 17 novembre 1815 "Lith. d'après nature par Marin-Lavigne" Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple
De la série Assemblée Nationale. Galerie des représentants du peuple (législative, 1849) (Creuse). N°105. Porte en plus la signature de Martin Nadaud.
cote : FP NAD 02 (Bfm Limoges)
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Martin Nadaud Caricature parue en une de la revue «Les hommes d'aujourd'hui», 3ème année, n°85.
Né à Soubrebost (Creuse) le 17 novembre 1815, ouvrier maçon, député de la Creuse à l'Assemblée législative (13 mai 1849), proscrit au coup d'Etat, professeur de langue française en Angleterre, préfet de la Creuse (septembre 1870 – février 1871), conseiller municipal de Paris (25 juillet 1871), de nouveau député de la Creuse (20 février 1876 à 1889), questeur de la Chambre (1881-1889), retiré à la Martinèche, commune de Soubrebost.
Cote : FP NAD 01 (Bfm Limoges)
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Marc Antoine Muret, poëte grec et latin, né à Limoges en 1526. Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 09 (Bfm Limoges)
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Marc Antoine Muret Légende : Poëte latin et françois né en Limoge il mourut à Rome en 1585 âgé de 59 ans. Se post hac solam doctam Saturnia tellus / Ne iactet ; dedit hunc Gallia docta virum.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 08 (Bfm Limoges)
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M. Antonius Muretus presbyter et civis romanus obiit annum Agens LX, CICICLXXXV .
[Marc Antoine Muret] Légende : Vera quidem haec scriptis sed quam tamen exprimit ipse multo ea Mureti verior effigies.
Dans la marge on lit : Hic. Marci. Caros. cineres. Roma. inclyta. servat. / Quos. patria. optasset. Gallia. habere. sinu. / Stat. colle. hortorum. tumulus. stat. proximus. astris. / Quoe. propius. puro. contigit. ille. animo. / Tu. sacros. latices. lacrumans. asperge. viatar. / Et. dic. her. linguoe. hic. fulmina. fracta. jacent.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 07 (Bfm Limoges)
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Marcus Antonius Muretus. [Marc Antoine Muret] Légende : Vera quidem haec scriptis sed quam tamen, exprimit ipse, / Multo ea Mureti verior effigies.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 06 (Bfm Limoges)
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M Antonius Muretus I C et civis r annum agens XLVII.
[Marc Antoine Muret] Au bas du cadre, l'inscription : Vera quidem haec scriptis sed quam tamen, exprimit ipse, / Multo ea Mureti verior effigies.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 05 (Bfm Limoges)
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M. Antho. Muret N°134 de la «Chronologie collée». Légende ajoutée : 131 Marc Antoine Muret Limosin, tres excellent orateur & poëte ; a paru comme vue claire lumiere en la ville de Rome, dont il fut fait citoyen, & y mourut agé de 57 ans l'an 1585, regretté de tous les hommes sçauans.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 04 (Bfm Limoges)
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In imaginem M. A. Mureti e vivo expressam.
[Marc Antoine Muret] Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 03 (Bfm Limoges)
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M. Ant. Muretus I. C. et civis r ann Agens XLVII.
[Marc Antoine Muret] Portrait encadré d'ornements Renaissance.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 02 (Bfm Limoges)
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M. Antonius Muretus presbyter et civis romanus obit Romae annum agens. LX. CICICLXXXV.
[Marc Antoine Muret] Dans la marge : Vera quidem haec scriptis sed quam tamen, exprimit ipse, / Multo ea Mureti verior effigies.
Né le 12 avril 1526 à Muret commune d'Ambazac près de Limoges , prêtre, littérateur, jurisconsulte, professeur de droit, d'éloquence et de philosophie à Paris puis à Rome, mort dans cette dernière ville le 4 juin 1585.
cote : FP MUR 01 (Bfm Limoges)
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Fédération anti patriotique des ci-devant aristocrates : convoquée par la discorde accueilli par l'ambition, l'hipocrisie et l'interet personnel &c...
[Mirabeau-Tonneau] André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie.
cote : FP MIRABEAU Fils 14 (Bfm Limoges)
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Jugement en dernier ressort de l'aristocratie aux enfers où l'on y remarque les principaux monstres [Mirabeau-Tonneau] Caricature.
André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie.
cote : FP MIRABEAU Fils 13 (Bfm Limoges)
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Antoine (sic) de Mirabeau, Colonel général, propriétaire de la Légion de son nom En costume de colonel de la Légion noire, un sabre à la main.
André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie.
cote : FP MIRABEAU Fils 12 (Bfm Limoges)
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[Mirabeau-Tonneau] Sur une tablette, au bas du portrait, on lit : Gregre Riquetti, ci-devt Victe de Mirabeau, député de la sénéchaussée de Limoges.
Sous la gravure : "collection générale des portraits de M. les députés à l'assemblée nationale tenue à versailles le 4 mai 1789" et le n°164.
André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie.
cote : FP MIRABEAU Fils 11 (Bfm Limoges)