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Limoges
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L'Attaché
Ce roman raconte les tribulations d'une jeune homme au lendemain de la Première Guerre Mondiale. Attaché au ministère de l'Instruction publique, c'est un éternel indécis entre ses rêves de distinctions honorifiques et un amour jamais avoué. Un retour dans son Limousin natal fait renaître son goût pour la nature et une certaine simplicité... La chute est gentiment amère. L'attrait principal du roman tient à son humour et à la peinture du Limousin, truculent et naturaliste. Maurice Cluzelaud dresse un tableau humoristique sans férocité ni caricature (en particulier les pages 93 à 116 sur Limoges et ses habitants). Une belle lecture à redécouvrir et qui connut un beau succès d'estime en son temps. cote : MAG.P PERRIER 6058 (Bfm Limoges) -
Arrêté concernant la prostitution : extrait du registre des arrêtés du Maire de Limoges
cote : MAG.P LIM B1602/14 (Limoges) -
L'Urbanisme à Limoges au XVIIIe siècle.
Limoges a longtemps séparée en deux villes : la Cité, dont la population est essentiellement cléricale et le Château. Celui-ci connait de grands bouleversements au XVIIIe siècle grâce aux efforts des intendants royaux. Les remparts sont progressivement arasés, laissant place à de larges boulevards plantés d'arbres, ouvrant la ville sur la campagne. De nombreux hôtels particuliers répondant au goût classique fleurissent, les premières manufactures sont créées (textiles, faïences puis porcelaine). A la veille de la Révolution, Limoges est en passe de devenir une ville moderne. cote : MAG.P LIM 50078 (Bfm Limoges) -
Plan de la célèbre basilique apostolique de Saint-Martial, 1791
le plan porte également la mention manuscrite : "...bâtie au IXe siècle sous Louis-le-Pieux, roi de France et d'aquitaine. la dédicace en fut faite en 830. Amasius en fut l'architecte. la démolition de cette basilique eu lieu en 1791. extrait d'après le plan de la Ville de 1775." Extrait du Guide du sapeur-pompier de la Ville de Limoges" cote : MS87/2 -
Plan du terrible et épouvantable incendie qui détruisit une partie de la ville de Limoges le 6 septembre 1790
"...et extrait d'après le plan de la Ville de 1775." Extrait du Guide du sapeur-pompier de la Ville de Limoges" cote : MS87/2 -
La cathédrale Saint-Etienne de Limoges.
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". La cathédrale de Limoges est notamment remarquable par sa hauteur et son unité. Jean-Baptiste Tripon écrit d'ailleurs à ce propos : "Un effet merveilleux qui résulte des proportions et de l'harmonie des parties, la hardiesse de la voûte, l'élévation des ogives impriment à cette partie de l'édifice un caractère tout à fait grandiose". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
Anecdote trouvée dans le porte-feuille d'Innocent Poulot
Ce court roman se veut une suite de la comédie de Molière "Monsieur de Pourceaugnac" : Innocent Poulot serait un petit-fils de Pourceaugnac, décrit comme d'origine limousine par Molière. L'auteur raconte les aventures rocambolesques d'un jeune homme maladroit et naif, qui se clonclut par le retour de cet aïeul de Pourceaugnac à Limoges pour célébrer son mariage. D'après Camille Jouhanneaud l'auteur du livre serait un certain Dorvigny écrivain de romans populaires burlesques à la fin du XVIIIe siècle. A noter : cette édition comporte 6 planches de dessins réhaussés à l'aquarelle. cote : MAG.P LIM F5588/2 (Bfm Limoges) -
Plan de Limoges, 1861
Plan de Limoges, 1861 -
Plan de Limoges, 1874
Plan légendé. -
Plan de Limoges, 1926
échelle 1/10 000e. mention des lignes de tramway. -
Plan de Limoges, 1921
échelle 1/10 000e. -
Lionou à Limoges rouge
Dessins de caricature et d'humour sur Léon Betoulle, maire de Limoges de 1912 à 1941 (puis de 1947 à 1956) et la politique locale. Il semblerait que sous le pseudonyme de l'auteur, Anthéor, se cacherait Emile Dantony, maire de Limoges en 1910 ... cote : MAG.P LIM 35056 (Bfm Limoges) -
Tombeau de Jean de Langeac, cathédrale de Limoges
Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean de Langeac ecclésiastique, magistrat et diplomate (ambassadeur de François 1er à diverses reprises ) fut élu évêque de Limoges en 1532. Il travailla ardemment à l’épanouissement du style Renaissance à Limoges. Achevé en 1544, soit trois ans après sa mort, ce tombeau constitue avec le jubé que Jean de Langeac fit également construire, l'un des deux beaux ouvrages de ce style Renaissance remarquable de Limoges et l'un des premiers du Limousin. Mutilé à la Révolution, il ne subsiste de ce tombeau que sa partie architecturale. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2 -
La Légende du roi Aigolant et les origines de Limoges
Extrait du Bulletin historique et philologique, 1902. Alfred Leroux recense et étudie les sources de ce beau conte du XIVe siècle qui parle d'un roi sarrasin venu à Limoges au IXe siècle et qui fit construire un aqueduc souterrain ainsi qu' une fontaine, la fameuse fontaine d'Aigoulène.... cote : MAG.P LIM 40940 (Bfm Limoges) -
Le Moniteur de l'inauguration (du monument Sadi Carnot)
Biographie de Sadi Carnot et programme des fêtes d'inauguration des 24 et 25 juillet 1897. cote : Mag.P LIM K137 (Bfm Limoges) -
Pour l'achèvement de la cathédrale de Limoges
Extrait de" Croquis et compositions" de Jules Tixier. Vente de charité 25, 26, 27 mai 1886. Accompagné d'un poème. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/20 (Bfm Limoges) -
Hôtel de M. Maupetit
Extrait de "Croquis et compositions" de Jules Tixier. Vue de la façade principale de l'hôtel, détail d'une niche d'angle, plan du rez-de-chaussée de la distillerie Maupetit. Dans les années 1880, Jean-Baptiste Louis Maupetit se fait construire un hôtel particulier à côté de la distillerie qu’il a fondée en 1861, au 14 boulevard de la Cité. C’est l’architecte Jules Tixier qui dessine ce bel immeuble. En 1892, la distillerie Maupetit, Boule et Rochette devient la société Buffière, Margoux et Mourguet, puis en 1895 la société Virolle Frères, et de 1905 à 1913 la société Emile Vitet-Virolle. Du milieu des années 1920 à 1934 environ, la S.A. Tannerie de France installe dans les bâtiments de la distillerie des entrepôts commerciaux. Des extensions sont réalisées en 1928. Durant les années 1960, l’entreprise Claude Valmont implante sur le site une petite usine de confection. C’est ici, pour la marque Ko&Co, que le célèbre styliste Jean-Charles de Castelbajac crée ses premières collections. Aujourd’hui, tout le site (ancienne distillerie, entrepôts et hôtel Maupetit) a été converti en logements et en locaux commerciaux. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/16 (Bfm Limoges) -
Une coopérative de consommation de Limoges
L’Union de Limoges apparue en 1881 est une des plus importantes société de secours mutuel apparue à Limoges avec l'essor du mouvement ouvrier. En 1935 elle fédère 25% de la population totale de la cité. La société achète à bas prix les denrées, les vend dans son propre réseau de distribution, abaissant ainsi le prix de revient des produits. Au fil des années, l'Union devient une véritable entreprise agro-alimentaire avec son fournil, sa biscuiterie, ses chais et même son propre élevage à la ferme du Mas-Eloi. Elle emploie, en 1939, 490 personnes. L’Union s’affirme également comme l’un des vecteurs de l’éducation populaire. Elle bâtit sa salle de spectacle et de réunion et met à disposition une bibliothèque riche de 13.000 ouvrages en 1939. Caisse de retraite, congés maladie pour son personnel, colonies de vacances… contribuent à faire de l’Union un acteur puissant en vue d’améliorer la condition de la population ouvrière limougeaude. JM .A Paroutaud livre une étude détaillée et chiffrée du fonctionnement de cette institution locale. cote : MAG.P LIM 50294 (Bfm Limoges) -
Fouilles à l'angle des rues la Courtine et Dalesme à Limoges: découverte d'un cimetière, 1892.
Ce fut lors de la construction d'une maison qu'un ancien cimetière, probablement gallo-romain, fut mis au jour. Mais c'est aux périodes mérovingienne et carolingienne que l'on attribue les tombeaux en calcaire. La photo ici présente est également visible dans l'ouvrage "Le cimetière gallo-romain, mérovingien et carolingien de la Courtine à Limoges" de Paul Ducourtieux. cote : 9FI-432 (Bfm Limoges) -
Démolition de l'immeuble Barbaut, rue Dalesme, à Limoges. Découverte du cimetière de la Courtine
Après la destruction d’un immeuble à l’angle des rues Dalesme et de la Courtine, les ouvriers chargés de bâtir une nouvelle maison font la découverte de vestiges enterrés. D’importantes fouilles sont entreprises et mettent au jour un ossuaire gallo-romain sur lequel se sont superposés des tombeaux des époques mérovingienne et carolingienne puis des tombes médiévales datant de la splendeur de l’abbaye Saint-Martial attenante (XIe- XIIIe siècles). Cet important ensemble funéraire est baptisé cimetière de la Courtine par les historiens et archéologues locaux. A cet emplacement se trouve aujourd’hui un magasin de tissus et décoration. cote : 9FI432 (Bfm Limoges)